13/02/2025

La dystopie n'est plus ce qu'elle était


 

 

Jusqu'ici une certaine paresse intellectuelle me poussait à classer les bouquins de ce genre dans les dystopies climatiques. Certains  événements récents m'obligent à changer cette habitude. Non, le réel va beaucoup plus vite...

 



...et les romans ont du mal à courir après. Verrai-je un jour Le déluge (1) dans le rayon Romans optimistes (2) de ma librairie préférée ? Une chose est sûre, le grand show technofasciste n'a pas fini de nous étonner, voire de nous inciter à la réflexion.
 
 
 
(1) Pas mauvais, au demeurant. Selon une expression consacrée, il se lit comme un roman. Le gars vit à Los Angeles et dans le livre il brûle la ville, entièrement, de la page 421 à la 453.
 
(2) Oui, ils en ont un, il faut bien vivre, mais ils préfèrent écrire ça en haut du casier, plutôt que feel-good lit.

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