Alors en allant voir un film, un marivaudage crépusculaire, comme ça, vous découvrez que votre projectionniste favori et d'ailleurs unique est romancier, admirateur de Volodine, et qu'il a décidé de projeter sa jeunesse gardoise dans un un post-soviétisme pré-apocalyptique de casse-automobile obstinément désespéré (1). Et donc ceci est une publicité gratuite pour
Eric Richer - La Rouille, Editions de l'Ogre, 2018
Ce n'est pas de tout repos, mais après tout qui a envie de se tout-reposer ?
Trois bonnes critiques, sur un blog, un autre, et un journal estimable donc/quoiqu'en difficulté.
(1) J'imagine assez un Gard post-soviétique, dit M. Chat. Tout aussi facilement qu'un Gard soviétique. De toute façon, dans le Gard, tout peut arriver.
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