Armand Guillaumin – Soleil couchant à Ivry, 1873
Source : Wikimedia Commons
"Le paysage des champs est une imposture...
Ce qui est beau, c'est ce qui est marginal.
Par exemple, n'importe quelle maison de l'arrabal, grave, puérile et paisible. Le café où je me trouve (et dont je connais les détails d'une manière floue). Le paysage urbain non encore souillé par le verbiage. La ritournelle intermittente d'un orgue de barbarie qui épanche dans ses rouleaux les bruits les plus rudes."
Jorge Luis Borges - Critique du paysage
Cosmópolis n°34, octobre 1924, trad. J. P. Bernès, O.C. I, p. 840.
1 commentaire:
Ciel... qu'elles sont belles ces volutes de fumée ! Je ne connaissais pas ce tableau. C'est chose faite grâce à votre oeil de... lynx, Monsieur Chat. Belle journée.
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