09/02/2019

L'art de la lecture : passage du requin noir





Alors en allant voir un film, un marivaudage crépusculaire, comme ça, vous découvrez que votre projectionniste favori et d'ailleurs unique est romancier, admirateur de Volodine, et qu'il a décidé de projeter sa jeunesse gardoise dans un un post-soviétisme pré-apocalyptique de casse-automobile obstinément désespéré (1). Et donc ceci est une publicité gratuite pour




 Eric Richer - La Rouille, Editions de l'Ogre, 2018






Ce n'est pas de tout repos, mais après tout qui a envie de se tout-reposer ?












Trois bonnes critiques, sur un blog, un autre, et un  journal estimable donc/quoiqu'en difficulté.






(1) J'imagine assez un Gard post-soviétique, dit M. Chat. Tout aussi facilement qu'un Gard soviétique. De toute façon, dans le Gard, tout peut arriver.



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