Épicentre de la contestation depuis les premières journées de mobilisation contre la réforme des retraites, la sous-préfecture de Millau a été la cible d'un ou plusieurs tagueurs au cours de la nuit de mercredi à jeudi. "Liberté, égalité, fraternité", peut-on ainsi lire depuis ce matin sur l'un des murs du bâtiment. Un message sans équivoque peint à l'encre blanche. Le parquet s'est saisi de l'affaire. "Comme c'est toujours le cas, dès lors que l'on constate des dégradations sur un bâtiment public", fait valoir le procureur Rigot-Muller qui diligente une enquête pour "faire toute la lumière sur ces agissements. Le plus rapidement possible."
Centre-Presse Aveyron, 30 mars 2023
"Liberté, égalité, fraternité", qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire? Il est urgent de faire la lumière, en effet.
RépondreSupprimerAlors? Alors? Ce déménagement?
RépondreSupprimerCertes, ce fut un long silence dont je m'excuse, mais d'un bout à l'autre de la (plus si) douce france (je ne mets plus de majuscule à ce pays, j'attends de voir ce qu'il va devenir) et dont je sors en me voyant très heureux de vous revoir ici, Tororo... J'émerge quelque peu, j'émerge, et reviendrai ici bientôt, prenez soin de vous...
SupprimerVous aussi, prenez soin de vous!
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