Huile sur toile
Musée Russe, Saint-Pétersbourg
Tamara Karsavina - Ma vie : l'étoile des ballets russes raconte, 1930, Complexe éd. pour l'édition française, trad. Denyse Clairouin, p.181
Léon Bakst - Portrait de Zinaïda Hippius, 1906
Crayon, craie et sanguine sur papier et carton
Galerie Trétyakov, Moscou
Zinaïda Hippius, qu'on a parfois surnommée la Madone décadente, est entre bien d'autres choses la grande figure féminine du symbolisme russe. Sous-jacente à ces deux célèbres portraits, la concurrence feutrée de l'imprésario et de la poétesse - entre leurs deux revues, Le Monde de l'art et Nouvelle voie, mais aussi dans le difficile partage d'un objet amoureux, Dimitri Philosophov.
Pour ceux qui s'intéresseraient à Zinaïda Hippius, quelques entrées dans un blog en français : 1, 2, 3 et 4 - et un article.
Sur le symbolisme russe et le cercle de Merejkovski-Hippius, on peut lire ce livre sous la direction de J.-C. Marcadé et, en anglais, le livre de Bernice Glazer Rosenthal.
Pour ceux qui s'intéresseraient à Zinaïda Hippius, quelques entrées dans un blog en français : 1, 2, 3 et 4 - et un article.
Sur le symbolisme russe et le cercle de Merejkovski-Hippius, on peut lire ce livre sous la direction de J.-C. Marcadé et, en anglais, le livre de Bernice Glazer Rosenthal.
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