Via criminocorpus
Les relégués musiciens du camp de de Saint-Jean du Maroni (Guyane dite française) jouaient le dimanche pour leurs gardiens et le jeudi pour leurs camarades. Suivant les époques ils recevaient un supplément à leur pécule par journée de répétition, ou simplement deux quarts de vin hebdomadaires.
Source de l'image et des informations : Association Meki Wi Libi Na Wan (Vivons Ensemble), œuvrant pour faire connaître
l'histoire de la relégation en Guyane et pour la sauvegarde du
patrimoine pénitentiaire de Saint-Jean.
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